L'UNAFAM n'aime pas beaucoup le mot "fou" et préfére maladie mentale, car on peut la soigner, comme une autre maladie. Pour celà, il faut d'abord l'accepter : famille et malade. Le terme " folie " est stigmatisant : pour tous ceux qui acceptent de se soigner à vie pour avoir une vie acceptable, pour eux et pour leurs proches. Aprés le soin, il faut mettre en place les structures d'accompagnement qui sont insignifiantes et c'est le 2e combat de l'UNAFAM. Le débat s'est poursuivi sur l'application de la loi de juillet 2011 des soins sans consentements et les rapports entre le psychiatre et le juge des libertés.